Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode de Plus belle la vie, encore plus belle diffusé jeudi après-midi sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !

Jeudi 27 juin dans Plus belle la vie, encore plus belle…

Patrick appréhende le fait de vieillir

À l’heure du déjeuner, Patrick retrouve sa femme Babeth au Mistral. Mais ce dernier ne semble pas dans son assiette. La raison ? Il a beaucoup de mal à digérer sa défaite au concours de tirs inter-commissariats. Il dit à Babeth que s’il a perdu, c’est parce qu’il a pris un coup de vieux.

Son épouse lui demande s’il n’a pas oublié la sortie scolaire de Raphaël, mais il semblerait bien que si. En effet, Patrick ne se souvenait plus qu’il devait accompagner son fils et ses camarades de classe dans une ferme pédagogique.

En fin de journée, Patrick et Raphaël reviennent de leur petite excursion à la ferme. Le père de famille est épuisé par le brouhaha permanent des enfants. Ce n’est pas tout, Raphaël l’a appelé “papi” durant toute l’après-midi. Résultat, tous les écoliers ainsi que les accompagnants se sont gentiment moqués de lui. Patrick serait-il en train de traverser une crise de la cinquantaine ?

Ophélie reçoit une visite inattendue

Blanche a finalement accepté la médiation entre Lucie et Mickaël. Elle leur demande de prendre la parole, mais aucun des deux ne veut se lancer. Pour tenter de rompre le silence, Blanche leur explique qu’elle a, elle aussi, harcelée une camarade de classe lorsqu’elle était au collège : “Ça faisait marrer mes copines, je me disais que ce n’était pas méchant. Ça me donnait un sentiment de supériorité”.

Intriguée par cette révélation, Lucie demande à Blanche comment va cette femme aujourd’hui, et cette dernière répond, en toute honnêteté : “Elle n’a pas oublié cette histoire et elle me déteste toujours autant”. Finalement, l’adolescente prend la parole. Elle déclare être terrorisée par l’idée qu’une personne s’en prenne une nouvelle fois à elle.

Mickaël secoue la tête avec agacement et déclare : “Voilà pourquoi je n’aime pas les victimes”. Blanche lui demande de s’expliquer, alors il confie que les victimes sont toujours des personnes qui ont une vie parfaite, contrairement à lui : “Mon père ne fait plus rien depuis que ma mère est morte, et Lucie se trouve des excuses, même si elle a la vie dont tout le monde rêve”.

Il se retourne vers Lucie et lui dit : “La vie, ce n’est pas tout beau et tout rose”. Énervée par les mots du garçon, elle répond que sa mère a été assassinée quand elle avait neuf ans, et qu’elle sait mieux que quiconque ce que s’est que d’être malheureuse. Mickaël s’excuse, car il ignorait cette histoire.

Pendant ce temps, dans la salle d’attente, Jean-Paul discute avec Anaïs, la grande-sœur de Mickaël. Il en profite pour lui demander comment elle se sent depuis son enlèvement, et elle répond qu’elle doit tenir le coup pour Mickaël. Jean-Paul lui révèle que c’est grâce à Ophélie qu’elle a pu être secourue.

Suite à cette révélation, Anaïs se rend chez Ophélie Kepler pour lui parler. Mais la jeune femme ne semble pas vouloir lui adresser la parole. Elle lui dit à travers la porte : “Tu as détruit ma vie”. Anaïs répond qu’elle voulait simplement la remercier, puis elle s’en va. Ophélie est-elle vraiment prête à lui pardonner ?

Jennifer est dans une spirale infernale

Gabriel montre à Samuel le ticket de caisse appartenant à Jennifer et sur lequel il y a la preuve d’achat du beurre de cacahuètes. Samuel ne croit pas une seconde que sa petite amie a tentée de l’empoisonner. Gabriel lui demande si elle n’aurait pas vécu un choc émotionnel ces derniers jours, et Samuel lui répond qu’elle a probablement vécu un traumatisme lorsqu’elle était jeune.

De son côté, Babeth informe Jennifer que sa prise de sang est tout à fait normale. L’infirmière lui conseille de prendre une semaine de repos, mais Jennifer répond qu’elle est déjà en forme. De son côté, Babeth est soulagée que Pascal ne soit pas un psychopathe.

Quelques minutes plus tard, Pascal dit à Jennifer qu’il a le sentiment qu’elle l’évite depuis qu’elle a dormi chez lui. Prise sur le fait accompli, la jeune femme lui avoue qu’elle est perturbée par ce qui s’est passé. Elle lui confie avoir tout d’abord pensé qu’il l’avait drogué.

En attendant ces mots, Pascal fait mine d’être blessé. Il lui dit : “Vous me soupçonnez d’être un violeur ? Le mal est fait, c’est grave”, puis il ajoute : “Je vous faisais confiance, je pensais qu’on aurait pu être ami, je suis déçu”.

En rentrant chez lui, Samuel retrouve Jennifer assise sur le canapé. Elle lui révèle être totalement perdue, d’autant plus que sa prise de sang n’indique aucune trace de drogue. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive. Elle demande à son petit ami ce qu’il en pense et il répond : “Peut-être que tu fais un burn-out”.

Pour se changer les idées, Samuel lui propose d’aller à la plage. Avant de quitter l’appartement, il dépose son arme de service dans un coffre, puis attend Jennifer à l’extérieur. Elle quitte la pièce en prenant soin de bien verrouiller la porte derrière elle.

En rentrant au cabinet, Babeth retrouve Léa et Gabriel en train de discuter. Ils ont l’air inquiets. Et pour cause, ils pensent que Jennifer a un problème de santé. Léa dit à sa mère : “Ce n’est pas du tout rassurant”. Serait-ce un souci psychologique ou neurologique ? Gabriel dit à ses collègues : “Si ça empire ou que ça dure, on ne pourra pas garder Jennifer”.

En rentrant de la plage, Samuel et Jennifer découvrent l’appartement saccagé. Ce n’est pas tout, le cambrioleur a également volé l’arme de service. Le policier est fou de rage. Va-t-il penser que Jennifer a oublié de verrouiller la porte ?