Une invasion de punaises de lit, un bailleur qui les harcèle et une voiture qui ne cesse de tomber en panne, les Tuzzoli croulent sous les soucis du quotidien. Ce jeudi 27 juin, Ludovica est une nouvelle fois agacée en sortant de son garage. Elle explique tout.
L’épisode de Familles nombreuses : la vie en XXL du 20 juin a ravivé des souvenirs douloureux pour les Tuzzoli. Un an plus tôt, Grégory et son épouse Ludovica pensaient emménager dans l’appartement idéal pour leur famille recomposée. Cependant, leur rêve s’est vite transformé en cauchemar lorsqu’ils ont découvert que leur logement était infesté de punaises de lit. Sur ses réseaux, Ludovica a également évoqué les difficultés rencontrées avec leur bailleur, qui leur réclame 2 700 euros pour les dégradations. Une demande que la mère de famille conteste, en plus de dénoncer les méthodes du bailleur, qui les aurait harcelés et intimidés pour qu’ils quittent le logement. Autre mésaventure pour la tribu Tuzzoli, un véhicule qui accumule les problèmes techniques.
Ludovica Tuzzoli dénonce l’incompétence de ses garagistes
Le 28 mai dernier, Ludovica Tuzzoli avait abordé avec sa communauté un autre problème qui la met dans tous ses états. Cette dernière avait pointé du doigt un garage incompétent, expliquant qu’elle avait déjà fait de nombreux allers-retours sans résoudre le problème de sa voiture. Ludovica avait critiqué le directeur de la concession pour son attitude désagréable et ses tentatives d’intimidation. Face à la mauvaise foi des garagistes et la dangerosité de l’état de sa voiture, elle envisage de prendre des mesures légales.
Ludovica Tuzzoli (Familles nombreuses) : “On s’est encore bien fait entuber”
Ce jeudi 27 juin, soit un mois après, la maman de 31 ans ne voit toujours pas la lumière au bout du tunnel. “Je viens vous donner des nouvelles de la fameuse Peugeot. On vient de la récupérer pour la énième fois, elle est encore réparée. On s’est encore bien fait entuber par le directeur qui nous avait promis par téléphone, soit un échange, soit une reprise, soit on repartait avec”, explique-t-elle. “Arrivés sur place, le directeur n’est pas disponible et nous envoie quelqu’un. Finalement, c’est juste une reprise à 4 000 euros. Ils sont gentils, ils rajoutent 2 000 euros sur le prix. On nous prend bien pour des billes ! Pensez bien que quand on l’a payée 12 000 euros en août et que sur le parc, il va la revendre à 7 000… On va garder cette voiture, en croisant les doigts qu’elle tienne puisque la garantie va se finir”.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
